15/02/2010
Perdu dans le vent glacé, le peu de visage encore découvert fouetté par les cristaux balayés, les pieds raquettés lourdement extraits de la poudreuse des traîtresses congères, incapable de voir au-delà de quatre ou cinq mètres sur le plateau, j'entends le portable sonner au fond de la poche de ma grosse doudoune. Le satellite a franchi la barrière pour me retrouver sans me donner le chemin du retour.
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