Avant de partir, mon hôte m'a dit : "Je sens Nana."
Soit, mais Nana à la fin, elle pue un peu, toute rongée par la vérole.
Alors départ, le pas tranquille. Enfin presque. Quelque chose chiffonne. Et arrivé à un feu, le flash : mon petit réveil de poche pour voir le temps digital qui s'écoule. Alors retour au pas de course et deuxième départ, pas cadencé.
Arrivé cinq minutes en avance et très vite ma main se trouve confrontée petit papier. Geste sûr, toujours et Nana, chapitre 8, le début de sa relation avec Satin. Sourire, non pas pour l'œuvre, mais pour l'intuition de mon hôte.
Préparation deux heures. 7 pages à relire et construire le plan et tout le bordel dirait Bordenave, pesonnage du roman. Impression d'un citron pressé. Je trouve enfin mon agencement en sachant qu'il a un goût d'inachevé.
15h10, c'est parti. Deux hommes et une femme. Un auditeur libre encore. Je déroule et 20 minutes pile en essayant de corriger la faiblesse de mon plan que j'ai un peu identifiée juste avant de rentrer...
Reprise. Un monsieur d'abord, celui qui s'est le plus intéressé à mon propos. L'autre, le chef, m'a passablement ignoré. Je suis dans les clous, je réponds, à l'aise.
Puis le Monsieur qui est plus froid et franchement je rame, je ne saisis pas à la fin ce qu'il veut me faire dire. Je sors et je ne sais absolument pas ce que ça vaut. Je ne pense pas avoir dit de bêtises, mais...
Après cent mètres de marche, je pense comprendre où il voulait me mener. Tant pis...
Demain, 8H00. Dernière épreuve !
Mon hôte m'a dit : Voltaire...
Soit, mais Nana à la fin, elle pue un peu, toute rongée par la vérole.
Alors départ, le pas tranquille. Enfin presque. Quelque chose chiffonne. Et arrivé à un feu, le flash : mon petit réveil de poche pour voir le temps digital qui s'écoule. Alors retour au pas de course et deuxième départ, pas cadencé.
Arrivé cinq minutes en avance et très vite ma main se trouve confrontée petit papier. Geste sûr, toujours et Nana, chapitre 8, le début de sa relation avec Satin. Sourire, non pas pour l'œuvre, mais pour l'intuition de mon hôte.
Préparation deux heures. 7 pages à relire et construire le plan et tout le bordel dirait Bordenave, pesonnage du roman. Impression d'un citron pressé. Je trouve enfin mon agencement en sachant qu'il a un goût d'inachevé.
15h10, c'est parti. Deux hommes et une femme. Un auditeur libre encore. Je déroule et 20 minutes pile en essayant de corriger la faiblesse de mon plan que j'ai un peu identifiée juste avant de rentrer...
Reprise. Un monsieur d'abord, celui qui s'est le plus intéressé à mon propos. L'autre, le chef, m'a passablement ignoré. Je suis dans les clous, je réponds, à l'aise.
Puis le Monsieur qui est plus froid et franchement je rame, je ne saisis pas à la fin ce qu'il veut me faire dire. Je sors et je ne sais absolument pas ce que ça vaut. Je ne pense pas avoir dit de bêtises, mais...
Après cent mètres de marche, je pense comprendre où il voulait me mener. Tant pis...
Demain, 8H00. Dernière épreuve !
Mon hôte m'a dit : Voltaire...
3 commentaires:
Les nanas et Voltaire. On est tous avec toi.
Pas censure, juste que je me suis trompé de message pour répondre...
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