Le texte qui suit, "lire Rimbaud 6", est sans doute le dernier de la série. Il manque bien sûr le bleu essentiel, le violet aussi, l'orange, le blanc et le noir (j'en parle par la bande).
Je n'ai pas envie d'un projet qui se voudrait complet en sachant aussi que les couleurs sont bien sûr à prendre dans leur solidarité (faudrait-il dire dans leur "agrégation ?) de l'arc-en-ciel, du rainbow selon Rimbaud. Le choix de les prendre une à une, en tissant des liens à mesure entre elles, des échos, des relances, ce choix est totalement subjectif et ne s'inscrit aucunement dans une démarche rigoureuse, méthodologique qui voudrait un plan par exemple, un travail sur les sources (toute la symbolique des couleurs, la datation des textes de Rimbaud...). Comme je l'indique dans les commentaires de "Or le jaune" ("Lire Rimbaud 3"), ces textes ne sont qu'une exploration personnelle, nourrie de ma lecture de Rimbaud et de quelques critiques. Yves Bonnefoy en est le principal, dont aujourd'hui je comprends mieux le titre du recueil : Notre besoin de Rimbaud.
Cette exploration, je l'arrête là dans cet espace du blog en sachant qu'elle continuera au-delà, à chaque retour aux textes de Rimbaud, en sachant aussi ce qu'elle doit à l'accompagnement précieux de M. Hirschi.
Ce qui suit et qui commence au "Lire Rimbaud" du 07 octobre, pour reprendre le 30 avril, n'est rien d'autre, rien de plus, pour aller dans le sens d'Yves Bonnefoy, que "mon Rimbaud".
Je n'ai pas envie d'un projet qui se voudrait complet en sachant aussi que les couleurs sont bien sûr à prendre dans leur solidarité (faudrait-il dire dans leur "agrégation ?) de l'arc-en-ciel, du rainbow selon Rimbaud. Le choix de les prendre une à une, en tissant des liens à mesure entre elles, des échos, des relances, ce choix est totalement subjectif et ne s'inscrit aucunement dans une démarche rigoureuse, méthodologique qui voudrait un plan par exemple, un travail sur les sources (toute la symbolique des couleurs, la datation des textes de Rimbaud...). Comme je l'indique dans les commentaires de "Or le jaune" ("Lire Rimbaud 3"), ces textes ne sont qu'une exploration personnelle, nourrie de ma lecture de Rimbaud et de quelques critiques. Yves Bonnefoy en est le principal, dont aujourd'hui je comprends mieux le titre du recueil : Notre besoin de Rimbaud.
Cette exploration, je l'arrête là dans cet espace du blog en sachant qu'elle continuera au-delà, à chaque retour aux textes de Rimbaud, en sachant aussi ce qu'elle doit à l'accompagnement précieux de M. Hirschi.
Ce qui suit et qui commence au "Lire Rimbaud" du 07 octobre, pour reprendre le 30 avril, n'est rien d'autre, rien de plus, pour aller dans le sens d'Yves Bonnefoy, que "mon Rimbaud".
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