Reprendre le fil
Les trames s'espacent, s'éliment, l'énergie de la reprise a su se faire attendre, mûrir, guetter.
Revenir au contact, dit-on, contact des mots. Ce qui à un moment donné le motive ?
Un incident ferroviaire, un article dans un journal, un chat trop longtemps exposé au soleil, une lumière que l'on a cherché longtemps pour un personnage et qu'un jour on reconnaît en longeant l'Atlantique sur les rails d'un déplacement. Lumière qui détronque celle, ancienne, que l'on a voulu forcer par un éclairage trop plein d'un autre personnage que l'on n'a pas su quitter, comme une vieille peau têtue, obstinée à ne pas se détacher.
Louise attend, derrière la vitre de son train à l'arrêt que je vienne dérouler l'histoire, la fiction, si chère fiction, cet à côté-dedans.
Reste à ne pas trouver le mirage à l'approche de l'oasis.
Reste à ne pas avoir peur de trouver le mirage à l'approche de l'oasis.
Reste à écrire.
Revenir au contact, dit-on, contact des mots. Ce qui à un moment donné le motive ?
Un incident ferroviaire, un article dans un journal, un chat trop longtemps exposé au soleil, une lumière que l'on a cherché longtemps pour un personnage et qu'un jour on reconnaît en longeant l'Atlantique sur les rails d'un déplacement. Lumière qui détronque celle, ancienne, que l'on a voulu forcer par un éclairage trop plein d'un autre personnage que l'on n'a pas su quitter, comme une vieille peau têtue, obstinée à ne pas se détacher.
Louise attend, derrière la vitre de son train à l'arrêt que je vienne dérouler l'histoire, la fiction, si chère fiction, cet à côté-dedans.
Reste à ne pas trouver le mirage à l'approche de l'oasis.
Reste à ne pas avoir peur de trouver le mirage à l'approche de l'oasis.
Reste à écrire.
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